Je me souviens des dictées de l'école primaire où le nombre de fautes était traduit en nombre de "gifles" (de toute petites tapes en réalité).

Régulièrement l'orthographe évolue, la grammaire et la liaison des mots n'y échappent pas. Les fameux sharicots, qui nous ont valus des remarques et qui aujourd'hui sont autorisés.

Aujourd'hui, avec les correcteurs orthographiques, grammaticaux des outils informatiques dispensent, en très grande partie, l'apprentissage de la belle écriture et l'attention portée à ce que l'on écrit. Mais l'essentiel n'est-il pas d'encourager l'écriture, le partage des idées, plutôt que de faire un exercice de haute voltige.