Oui, je suis horrible, inhumain, sans coeur. Je reste solitaire dans mes oeuvres. C'est le métier qui veut ça !

J'interviens, au levé ou au coucher du soleil. Je poursuis mes victimes sans merci, je les traque dans les moindres recoins. Je n'ai de cesse de toutes les massacrer jusqu'à la dernière.

Mes techniques varient : le feu, le poison par inhalation ou ingestion. Je répugne à utiliser l'arme blanche : si c'est d'une efficacité redoutable, ce n'est pas propre car le sang coule et s'insinue dans les moindres interstices sur la scène du crime. J'ai des principes tout de même !

Il arrive que le soir, après le coucher du soleil, je verse de l'essence dans les différents ouvertures de l'habitation, et j'y mets le feu. Cela ne dure pas longtemps. Quelques tentatives de fuites sont vites arrêtées par la chaleur, la fumée.

Mercenaire, tueur à gage. Le contrat est exécuté et mes clients ne se plaignent jamais.

Je traque mes victimes de la cave au grenier, pièce par pièce, étage par étage. Rien ne m'échappe. Il n'y aura ni salut ni pitié. J'irai jusqu'au bout, jusqu'au dernier placard, jusqu'à la dernière cachette.