A chaque âge, sa peine

Les enfants, on ne les voit pas grandir. Que l'on soit père ou mère, c'est toujours un déchirement quand ils franchissent une nouvelle étape de la vie. L'entrée en maternelle, la nourrice, l'école primaire, le collège, le lycée, la fac ... le premier flirt ... le premier logement universitaire ...

Si on se revoit souvent à leur âge, et que l'on se souvient de ses affranchissements périodiques que nous vivions pleinement pour l'indépendance que cela procurait, ils nous est difficile de les voir passer ses étapes de la vie.

Par peur des dangers de la vie ? Oui, mais profondément par la perte de l'emprise sur notre bébé. Il est bien difficile d'accepter que nos enfants sont des êtres vivants et qu'il y a bien longtemps qu'ils ne font plus partie de nous même.

1 commentaires:

Xoria a dit…

BOOonsoir, bonsoir!!!

Eh oui à chaque âge son apprentissage de la vie et du deuil de ce qui ne sera plus...
C'est cela aussi grandir... ou vieillir...

Toujours aussi intéressantes les réflexions de Quwill!!!...

Excellente semaine à toi!!!

Mil muxus, izan ontsa eta ikus arte!!!

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